Auton’home : Un site créé par les jeunes pour les jeunes sur les questions d’autonomie Il a pour objectif de répondre aux questionnements et aux difficultés par rapport à la vie en autonomie.
C’est une émanation du Labo Logement animé par les AMO Pour aider « les jeunes autonomes » à y faire face à ses questionnements , ils ont créé 4 axes :
Le 10 juin à 8h30, nous espérons relancer notre journée d’étude après 2 ans d’interruption à la suite de la crise sanitaire. Le sujet reste le même qu’en 2020: « Les interventions éducatives stratégiques. » N’hésitez pas à vous inscrire nombreux.
Intéressé(e) ? Merci de nous envoyer votre curriculum vitae accompagné d’une lettre de motivation par mail à l’attention de Madame Nicole Messeauw : nicole.messeauw@robertson-associates.com Clôture des candidatures le vendredi 26 novembre 2021
Le 17 mars, quelque jours après le début de la crise, Mme Anne Sophie Fontaine Directrice de l’AMO passages à Namur proposait qu’une de ses collègues vienne soutenir un service résidentiel. La situation de leur travailleur étant différentes suites au confinement que ces derniers services. Elle propose même qu’en fonction de l’âge du public que les services résidentiels hébergent, elle puisse préparer des animations et emporter avec elle du matos d’animation de l’AMO.
Cette proposition a été reçue avec beaucoup d’enthousiasme par l’ensemble des SR, même si cela n’a pu se mettre en place immédiatement! Notre présidente s’exclame même « Quelle solidarité ! Quelle générosité ! Ce sont dans de tels moments que la magie de SYPA se manifeste encore davantage !!!! » P.P.
Cette proposition en a généré d’autres de quelques services non mandatés et de la Mado.
Il n’a pas fallu 10 jours pour qu’une première équipe déforcée de 50% de son personnel éducatif fasse appel à la solidarité des AMO! Les choses se sont très rapidement mises en place! Le lendemain tout était en ordre pour qu’un travailleur d’Imagin’Amo à Gembloux vienne soutenir les Cabris à Malonne.
Début avril, avec le soutien de Madame Podevyn inspectrice pédagogique l’ensemble des services ont formalisé leur aide sur base des propositions de leurs travailleurs. Quelles que lignes conductrices sont formalisées :
Nous demandons qu’afin de réduire les risques ainsi que pour éviter trop d’insécurité pour les jeunes et les travailleurs, un même travailleur ne soit détaché que dans un seul service résidentiel (et non plusieurs).
Par ailleurs, nous demandons à ce que dans les services résidentiels pour lesquels nos travailleurs viendront en renfort, les règles de sécurité, de protection et de distanciation sociale soient bien d’application.
Nous demandons qu’il y ait la présence d’au moins un éducateur du SR au côté du personnel détaché pendant toute la durée de la prestation.
Enfin, nous demandons à ce que le service résidentiel puisse nous adresser sa demande de renforcement plus de 30h avant que le renforcement soit effectif de manière à ce qu’on ait le temps de s’organiser et de prévenir l’inspection du travail de la mise à disposition temporaire de personnel.
D’autres demandes sont arrivées en fonction des absences et des maladies dans les services résidentiels de l’arrondissement. Il nous parait indispensable de souligner cette solidarité spontané entre les travailleurs et les équipes. Plein de frontières ont été dépassé, de la peur de la maladie aux différences culturelles entre équipes pour se traduire en soutien effectif. Un grand merci pour cette esprit inter-équipe.
Psychologue d’orientation systémique brève, Véra Likaj accompagne, depuis une vingtaine d’années, des adultes, seniors (équipe mobile), couples et familles, patients sous contraintes judiciaires (probations et conditionnelles) et contraintes de soins (SAJ et SPJ). Convaincue par l’approche stratégique, elle participe à des projets de prévention en santé mentale et assure des supervisions et des formations auprès des travailleurs sociaux, psychologues et personnel soignant. Elle est co-auteur de l’ouvrage « Thérapies brèves plurielles : principes et outils pratiques » paru aux Editions Masson.
Lorsqu’il bénéficie d’un accompagnement par l’Aide à la Jeunesse, un jeune voit toute une série
d’acteurs se présenter autour de lui, de sa famille et de ses familiers.
Parmi ceux-ci, les intervenants de terrain et les avocats sont les plus proches pour recueillir la parole
du jeune et soutenir son point de vue, afin de l’accompagner dans son projet durant quelques mois,
voire quelques années.
Il semble donc fondamental que ces différents accompagnants soient bien au clair par rapport à leurs
fonctions, missions ainsi qu’à leurs articulations.
Conscients de cela, intervenants de terrain et avocats de l’arrondissement judiciaire de Namur ont
initié, depuis 2004, un lieu et temps de rencontres régulières, pour débattre de toutes ces questions
ayant pour objet l’accompagnement optimal des jeunes.
Dans ce document, vous trouverez le résumé du travail mis en œuvre depuis toutes ces années par ce groupe mais également le résultat de leur dernière enquête consacrée au droit des mineurs à se faire représenter par leur avocat. Ce prescrit légal a évolué avec le temps, au regard de la place et du statut conférés au mineur. C’est en interrogeant « le pouvoir du prescrit sur l’agi » qu’un groupe de travail s’est réuni pour la première fois en 2004. L’un des objectifs visés était notamment de dresser un état des lieux de la relation « mineur-avocat ». La perspective étant d’améliorer celle-ci, de la rendre effective au regard du droit.
Les réservations se font par mail: voixdumineur21@gmail.com
Ci-joint le programme ainsi que les modalités concernant une journée d’étude consacrée à la relation tissée entre le mineur et son avocat à Namur.
Hormis le fait que cette journée est programmée le lendemain du 30ème anniversaire de la CIDE (convention internationale des droits de l’enfant), le contexte de cette journée est, en quelques lignes, le suivant : un groupe de réflexion et d’actions, constitué de professionnels de plusieurs services qui relèvent l’aide à la jeunesse, ainsi que d’avocats jeunesse du barreau de Namur se réunit régulièrement, depuis plus de 15 ans, l’un des objectifs étant de réfléchir à « comment garantir au mineur de faire valoir ses droits et de relayer sa parole? ».
Il y a quatre ans, nous avons mis sur pied une enquête dans la perspective de recueillir le point de vue de jeunes, âgés de 12 à 18 ans et faisant l’objet d’une prise en charge ou d’un accompagnement dans les services de l’Arrondissement Judiciaire namurois, sur leur vécu par rapport à la manière dont fonctionne la relation entre leur avocat et eux-mêmes.
Cette enquête a donné lieu à une recherche supervisée par des scientifiques de l’Henallux et cofinancée par SYPA et le BAJ.
Nous souhaitons la présenter dans le cadre de cette journée du 21/11/2019.
Les inscriptions restent ouvertes jusqu’au 8 novembre inclus
Au plaisir de vous y rencontrer…
Pour le groupe » Mineur-Avocat »,
BOONEN Claire (SASE Qualiplus), DEGRAUX Camille (AMO « SDJ Namur-Luxembourg »), FERNANDEZ Mathilde (SASE « Les Accores »), FLAHAUX Stéphanie (SARE « Le Choix ») et OLIVIER Eric (SR » Foyer Burnot »).
Deux syllabes qui claquent, connues du
secteur et progressivement bien au-delà.
Un acronyme de sérieux, de confiance,
d’échanges, de journées d’études thématiques de grande qualité, de
collaborations diverses et de rencontres, y compris avec les autorités
mandantes.
Quatre lettres qui regroupent tous les services du secteur de l’Aide à la Jeunesse, de l’Arrondissement judiciaire de Namur-Dinant, division de Namur, mandatés ou pas, privés et publics. Une ASBL trentenaire cette année et qui a célébré sa jeunesse avec entrain, mais surtout avec vous tous et toutes, quelle que soit la fonction, l’âge et tout le reste…
Jeudi 26 septembre nous avons donc fêté ses 30 ans de notre ASBL. Nous avons invité à la salle Perwex nos équipes qui ont élaboré un repas et nous avons passé l’après-midi animé par https://sysmo.be/game
Merci à Thierry et à la commission teambuilding de Sypa pour ce travail
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