« A un moment ou l’autre de notre vie professionnelle, nous avons tous eu le sentiment d’avoir été dans le casting d’une belle histoire.
Souvenez-vous, ce jeune épouvantable, fainéant, fermé et qui s’en sort plutôt pas mal dès que l’on croit en lui ou l’autre, là, qu’on disait incontrôlable et violent mais qui pleure dans vos bras parce que vous avez trouvé les mots justes pour lui parler. Et bien d’autres, que nous n’imaginons même pas.
Alors bien entendu, il y a les échecs, les colères devant le manque de moyens et tout ce qu’on aurait pu faire. Mais aujourd’hui, mettons cela de coté et rendons un court hommage à ce qui a bien fonctionné, rendons un court hommage à ces jeunes que nous avons liés et, au diable la modestie, rendons nous un court hommage.
Peu importe le style, l’écriture, la longueur du truc, on n’est pas là pour faire une rédaction cotée. Notre désir, c’est de reccueillir, de manière anonyme bien entendu, autant de ces belles histoires que possible pour en tapisser la Marlagne la journée du 5 octobre. Ecrivez là d’une manière synthétique, ou décrivez juste un moment magique, peu importe faites comme bon vous semble.
L’objectif c’est qu’au détour d’un couloir, l’histoire de Pol, de Dylan ou de Melissa résonne comme un appel silencieux à croire en eux et à croire en nous. Pour que l’ensemble des récits impressionne et que nous puissions dire à ceux qui se posent encore la question : le sens de notre travail, son cœur, il est là autour de vous. Lisez. »
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Une réflexion sur « de « belles histoires » pour parler du métier d’éduc. »